Dialogues

Quand tu donnes ton "Oui", tu ne peux t’attendre à rien. Tant que tu n’as pas fait l’expérience directe de la profonde bienveillance de l’univers, rien ni personne ne va jamais te rassurer. Cette bienveillance est disponible pour tous, à l’instant. Toute la bienveillance du monde est disponible à l’instant. Sans une profonde acceptation de la bienveillance, il est impossible de construire dans la durée ni de recevoir les signes, les guidances, les symboles pour ce qu’ils sont : de l’information bienveillante. Ils ne viennent confirmer aucun des scenarios mis en scène par le mental, jamais. Ils indiquent une direction, une présence, ouvrent un nouvel espace de regard et de réflexion, ils nous relient parce qu’ils font partie d’une sagesse commune. Pas plus. Et c’est déjà beaucoup.

En 2015, des épisodes de maladie m’ont permis de m’ouvrir à une dimension spirituelle et une relation au sacré s’est alors invitée au quotidien. Elle s’exprime entre autres par des guidances. Lorsque nous dialoguons, les énergies de claire-audience et de claire-vision sont porteuses d’un accès au Vrai de nos Cœurs. Ainsi, ce qui passe par "moi" n’est pas "à moi" et n’a de sens qu’en circulant.

Les rdv durent 45min en général. Les sessions sont gratuites.

Je suis tenue à la confidentialité la plus stricte et, dans le respect absolu des croyances de chacun-e, ces dialogues spirituels ne sont ni du développement personnel ni du coaching et ne peuvent se substituer au suivi d’un spécialiste prenant en charge les aspects de votre parcours concernant plus particulièrement la psyché et/ou la santé.

> Quelques témoignages ici.

Et une citation dans laquelle je me reconnais. "Dans la relation d’accompagnement... Il n’est pas question d’aider l’autre ! C’est peut-être la notion d’aide qui est à revoir.
Aider... La première fois que j’ai utilisé ce mot avec Chandra Swami - j’avais dix neuf ans -, il m’a dit : « Pas aider, servir ». C’est très différent. Servir, c’est reconnaître que l’autre est en train de grandir là où il est, et c’est le servir là où il se trouve. Et c’est nous obliger, nous, à une écoute de ce dont il a besoin, là où il est maintenant, sans jamais lui imposer ce que nous avons reconnu pour nous-mêmes. Ce qui est une preuve de générosité, de tolérance, sinon d’amour, c’est de ne pas imposer à l’autre ce qui n’est pas encore sa reconnaissance à lui." Y. Amar in La pensée comme voie d’éveil.